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  • Ginette Nichols
  • 14 déc. 2017
  • 3 min de lecture

La lecture est en premier une découverte. Que ce soit d’un nouveau livre, ou comme celui que je vous présente aujourd’hui, un parmi nos plus beaux classiques.

Parmi tous nos classiques, un de mes préférés est Le Comte de Monte-Cristo.

Plusieurs cinéastes ont traité le sujet. Nous avons pu voir de splendides chefs-d’œuvre, à l’écran, mais selon moi, rien ne vaut de lire cette histoire d’Alexandre Dumas.

Le Conte de Monte-Cristo

Cette histoire renferme tout ce qui est nécessaire à créer un bon roman.


Nous retrouvons tout : l’amour, l’aventure, la haine, le départ, le retour et aussi la vengeance.


Ces six volumes sont basés sur des faits réels et imaginaires, le tout écrit dans un style précurseur au style d’aujourd’hui. Ces volumes constituent, avec Les Trois mousquetaires, l’une des œuvres les plus connues de l’écrivain, tant en France qu’à l’étranger. Il a d’abord été publié en feuilleton dans le Journal des débats, du 28 août au 19 octobre 1844 pour la première partie, puis du 31 octobre au 26 novembre 1844 en ce qui concerne la deuxième partie, et finalement du 20 juin 1845 au 15 janvier 1846 pour la finale de l’histoire. Le personnage principal de cette aventure, Edmond Dantès, jeune marin de dix-neuf ans et second du navire Le Pharaon, débarque à Marseille pour s'y fiancer le lendemain avec la belle Catalane Mercédès. Trahi par des « amis » jaloux, Dumas nous montre les différentes personnalités que le jeune Edmond développe en captivité. Nous retrouverons successivement le captif qui, rongé par le désespoir songera à aller jusqu’au suicide. Par la suite, nous allons assister à la ténacité d’un enquêteur et planificateur d’une vengeance. Finalement, nous rencontrons le vengeur dans toute sa puissance et l’exécution de sa vengeance.


Si cette histoire était écrite aujourd’hui par un jeune auteur, encore une fois elle serait une histoire gagnante, car les fondements de ces écrits restent éternels et toujours au goût du jour. Seul le style de phrasé pourrait changer, mais il aurait le même impact.


Alors, préparez-vous une bonne tisane ou un bon thé, prenez votre doudou préféré et installez-vous sur votre fauteuil le plus confortable. Vous passerez un agréable moment avec Le Comte de Monte-Cristo !


Résumé:

Le Conte de Monte-Cristo

Edmond Dantès, jeune officier prometteur, revient d'un voyage à bord du Pharaon, navire appartenant à l'armateur Pierre Morrel. Il a dû remplacer le capitaine Leclère, décédé durant le voyage des suites d'une fièvre cérébrale. À son arrivée, il est accueilli par Morrel qui lui promet de le nommer capitaine. Dantès est au comble du bonheur : il va ainsi pouvoir aider financièrement son vieux père et épouser sa belle fiancée, la Catalane Mercédès. Mais ce bonheur suscite la jalousie. Il y a tout d'abord Danglars, le comptable du bateau qui brigue le poste de capitaine du Pharaon, et aussi Fernand Mondego, un pêcheur d'origine catalane amoureux de Mercédès et repoussé par elle.


Aidés de Caderousse, voisin et ami de Dantès, Danglars et Fernand vont comploter pour se débarrasser d'Edmond. Profitant d'une escale que Dantès a faite à l'île d'Elbe pour satisfaire une des dernières volontés du capitaine Leclère, ils le font passer pour un dangereux bonapartiste. Edmond Dantès est ainsi arrêté le jour de son mariage et interrogé par le substitut du procureur du roi, Gérard de Villefort.

« M. le Procureur du roi est prévenu, par un ami du trône et de la religion, que le nommé Edmond Dantès, second du navire le Pharaon, arrivé ce matin de Smyrne, après avoir touché à Naples et à Porto-Ferrajo, a été chargé, par Murat, d'une lettre pour l'usurpateur, et, par l'usurpateur, d'une lettre pour le comité bonapartiste de Paris.


On aura la preuve de son crime en l'arrêtant, car on trouvera cette lettre ou sur lui, ou chez son père, ou dans sa cabine à bord du Pharaon. »


La lettre est écrite par Danglars et relue par Fernand devant un Caderousse de plus en plus ivre, mais qui proteste néanmoins. Danglars lui affirme alors qu'il ne s'agit que d'une plaisanterie et fait semblant de froisser la lettre, que Fernand récupère pour la faire parvenir au Procureur.


Edmond Dantès est porteur d'une lettre de la part du capitaine Leclère, qu'il ne sait pas compromettante et adressée à M. Noirtier, le père bonapartiste du substitut du procureur. S'en apercevant et quoique convaincu de l'innocence de Dantès, le substitut l'envoie directement au château d'If, comme prisonnier d'État. Villefort réussit ainsi à éviter la compromission que lui faisait courir le courrier bonapartiste adressé à son père et par la même occasion, il parvient, grâce à cette action spectaculaire, à être promu.


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